DORA : la réglementation devient votre alliée
Depuis janvier 2025, la réglementation DORA (Digital Operational Resilience Act) s’est installée dans tous les bureaux européens¹. Contrairement aux autres directives, souvent lentes à s’appliquer, DORA a pris ses quartiers dès le 17 janvier 2025. Son objectif ? Imposer aux acteurs du secteur financier un socle unique d’exigences en cybersécurité¹.
Petite révolution dans le milieu : pour la première fois, tout le monde joue avec les mêmes règles ! Grands groupes, PME, prestataires IT… même terrain de jeu¹.
Le réveil des PME : fini la navigation à vue
Rarement contrôlées par les autorités, la plupart des PME vivaient tranquillement avec leurs recommandations sectorielles. Résultat : en 2023, moins de 45 % de ces organismes avaient fait un test de gestion de crise cyber². Autant dire qu’on naviguait un peu à l’instinct…
Aujourd’hui, terminée l’approximation ! La loi exige désormais :
- La déclaration de chaque incident grave dans un délai de 24 à 72 heures (plus question de reporter).
- La formation annuelle de toutes les équipes (y compris les plus réticents).
- Des exercices de crise encadrés par des superviseurs.
- Des audits réguliers.
D’ici 2026, plus de 70 % des PME françaises du secteur doivent mettre à jour ou inventer leur plan de continuité informatique³.
Dans le viseur de DORA : un périmètre élargi
DORA englobe tout l’écosystème financier : PME impliquées dans les opérations financières, gestionnaires de données sensibles, fournisseurs de solutions technologiques au secteur¹.
La liste des concernés ? Prestataires cloud, sociétés de services informatiques, cabinets de conseil, agences de ressources humaines, experts-comptables, avocats travaillant avec les banques ou les assurances. En bref : si vous évoluez dans l’univers financier, vous êtes concerné !
Pourquoi cette urgence ? Le contexte inquiète
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : +15 % de cybermenaces en 2024 selon l’ANSSI². L’Union européenne n’a pas voulu attendre l’escalade pour agir.
Les attaques par ransomwares, phishing, usurpation d’identité se multiplient. Les cibles privilégiées ? Les PME ! En 2024, la moitié d’entre elles n’avaient pas de plan de continuité à jour².
Le cloud : opportunité… jusqu’au pépin technique
L’essor du cloud, des outils collaboratifs représente une formidable opportunité… jusqu’au premier incident. En 2024, selon l’ANSSI, 61 % des incidents critiques signalés dans les PME impliquent une faille liée aux applications cloud ou à l’interconnexion de systèmes².
Le moindre problème technique (panne de serveur, base de données corrompue, accès externe compromis) peut déclencher l’effet domino. Transactions, gestion client, opérations bancaires… tout devient vulnérable. Une seule défaillance mal gérée provoque la perte de confiance des clients².
DORA mode d’emploi
1. Cartographier les risques numériques
Inventaire complet des actifs critiques, chasse aux vulnérabilités, classement des scénarios d’attaque par ordre de terreur. Mise à jour au moins annuelle ou dès l’arrivée d’une nouveauté techno¹.
2. Des procédures de crise rodées
Exercice de crise obligatoire chaque année, plan d’action détaillé par incident, tests d’efficacité avec compte-rendu à la direction¹. Fini le style « on verra bien » !
3. Surveillance des incidents
Détection centralisée, journalisation automatique, réaction organisée sous 24 à 72 heures selon l’urgence. Transmission obligatoire des incidents majeurs à l’ACPR ou l’AMF dans les temps¹.
4. Formation des troupes
Formation cybersécurité adaptée au moins une fois par an, certificat ou attestation à la clé. Campagnes de sensibilisation dès l’apparition d’une nouvelle menace¹.
5. Preuves de conformité
Archivage de tous les rapports avec attestations. Présentation obligatoire lors de chaque audit, programmé ou surprise, sous l’œil scrutateur des autorités.
Attention, les sheriffs arrivent !
En France, l’AMF ou l’ACPR ne rigolent pas avec DORA. Toutes lacunes non documentées est synonyme d’avertissement, de demande corrective ou d’amende salée pour les récidivistes³.
Exemples de factures douloureuses :
- Un prestataire IT du secteur bancaire se prend une amende de plus de 100 000 € pour avoir « oublié » de signaler à l’ACPR la paralysie de ses services suite à une cyberattaque³.
- Un cabinet de conseil se fait taper sur les doigts par l’AMF pour une attestation de formation fantôme lors d’un audit.
DORA : transformer l’enfer en paradis
Si on retournait la situation ? DORA n’est pas juste un casse-tête administratif, c’est votre nouveau meilleur ami stratégique !
Continuité de service
Adopter DORA, c’est s’organiser pour tenir la barre malgré les tempêtes numériques. En cas de crise, votre plan de secours se déclenche, vos clients nagent dans le bonheur d’un service stable.
Avec 4 386 événements de sécurité traités par l’ANSSI en 2024 (+15 % vs 2023)², il vaut mieux prévoir un plan de secours. Une PME équipée d’un bon protocole évite les catastrophes économiques, garde ses clients dans sa poche².
Confiance dans l’écosystème : le label « entreprise sérieuse »
Se conformer à DORA, c’est rejoindre le club select des entreprises structurées, alignées sur les standards européens. Votre organisation prouve sa capacité à dénicher chaque risque critique, déclencher des plans d’action testés, surveiller l’évolution des menaces.
Résultat ? Clients, partenaires ou régulateurs sont satisfaits. Une PME certifiée DORA rassure sur sa capacité à remettre tout en marche en moins de 24 heures après un incident.
Le petit plus : DORA transforme les PME en champions de la confiance numérique. Les entreprises dans les temps deviennent plus séduisantes sur le marché¹. Plutôt cool, non ?
Performance interne : l’organisation sur son 31
L’audit des process, la centralisation documentaire, la traçabilité… DORA booste vos activités internes. Votre PME gagne en clarté, la gestion des incidents devient un jeu d’enfant.
Chacun sait comment réagir en cas d’alerte : missions, échéances, méthodes sont limpides pour toutes les équipes. Le management a une vision radar des points sensibles, prend des décisions à la vitesse de l’éclair.
Nouvelles opportunités : le pass VIP européen
DORA transforme le développement international en promenade de santé. L’harmonisation des règles dans l’UE facilite l’intégration dans des réseaux d’affaires, l’accès à de nouveaux marchés, les collaborations transfrontalières, sans paperasserie à rallonge.
Cette démarche prouve votre capacité à vous adapter, sécuriser vos activités, inspirer confiance. Un atout majeur pour anticiper NIS2 ou l’évolution des exigences RGPD !
Bon à savoir : DORA : un accélérateur de fidélité
D’après une étude ACPR (2025), la conformité DORA fait grimper le taux de renouvellement client de 30%³. L’obtention d’assurances cyber devient du gâteau, avec des conditions financières de rêve (tarifs préférentiels, délais réduits, plafonds de garantie gonflés).
Easy Service Informatique : votre guide DORA parisien
Chez Easy Service Informatique, on considère la cybersécurité comme un turbo pour le développement ! DORA offre aux PME parisiennes l’opportunité en or de structurer leur informatique, d’accélérer leur transformation numérique.
Le constat qui pique : en 2025, la moitié des PME franciliennes n’ont toujours pas de stratégie cybersécurité⁴. Chaque incident critique coûte en moyenne 150 € par dossier compromis².
Notre mission : transformer cette contrainte réglementaire en super-pouvoir concurrentiel pour les PME de la région parisienne. Saisissez l’opportunité DORA pour booster vos opportunités B2B sur le marché parisien !
Faites de DORA votre arme secrète.
Les trois commandements à retenir
- DORA s’applique à toutes les PME avec services informatiques du secteur financier européen. Pas d’exception !
- La conformité booste la sécurité, charme les clients, ouvre de nouveaux horizons de croissance.
- Easy Service Informatique accompagne les PME parisiennes avec des solutions cousues main, adaptées à leur taille, environnement, ambitions.
Sources